mardi 25 août 2015

Mr Mercedes Stephen King ( roman policier EtatsUnis )



                                       Mr Mercedes

            Un jour d'avril 2009, pluvieux et froid un homme va tuer. Il est au volant d'une Mercedes 12 cylindres 500 SL. Devant le City Center longue file d'attente depuis l'aube. Des hommes et des femmes avec enfant parfois, attendent une proposition de travail. Plus tard, Hodges, policier retraité, divorcé, s'ennuie dans sa maison aux fenêtres dénudées. Il joue avec son Smith & Wesson et regarde la télévision. Un moment encore il relève sa boîte aux lettres et reçoit la lettre de celui qui a tué et jouera tout au long du livre au chat et à la souris. Il promet d'autres meurtres. L'ex-policier Hodges se sert assez mal de son ordinateur, mais une aide précieuse et un conseiller est prêt à lui apporter son aide, Jérome, étudiant et fils de voisins. Jérome est intelligent et sympathique, il garde sa petite soeur et achète des glaces au marchand qui passe dans sa voiturette. Très vite nous savons qui est cet assassin, nous suivons l'enquêteur et les préparatifs du meurtrier. La propriétaire de la Mercedes, l'une des plus belles du comté, habite dans un quartier sécurisé. Dans ses lettres celui qui s'appelle le Joker ou l'homme à la Mercedes, nargue l'inspecteur. Il cumule deux emplois, vendeur de glaces et réparateur d'ordinateurs. Il écrit : " La plupart des gens portent des Chaussures de Plomb depuis leur plus jeune âge et sont condamnés à les garder aux pieds toute leur vie......
C'est ce qu'on appelle la Conscience. " De plus il pense : "..... S'il y avait un Dieu comme les hommes du dimanche le disaient à la télé...... ne croyait pas en Dieu mais il croyait au destin, et parfois l'homme de la maison se doit d'être le bras droit du destin. " Une jeune femme se révèle aussi sinon plus douée que Jérome. Au grand dam de sa famille, sous des allures de vieille jeune femme elle cache des connaissances en informatique. Quel dénouement ce jour d'été parfait en plein coeur de l'Amérique, au MACC, aussi appelé le " Louvre du Midwest ", l'auditorium construit au milieu de deux hectares ? Nuits blanches assurées. La peur, non pas comme dans les livres de la série " Fantastique " de Stephen King, mais pour connaître la suite et la fin des personnages, les pervers, les gentils, les morts et les rescapés.

            

            

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