Le sourire d'Angelica
Une enquête du commissaire Montalbano
A Vigàta, la petite ville sicilienne ressemble étrangement à Porto Empedocle ville natale de Camilleri, Montalbano commissaire depuis... bien des livres peine quelque peu. Ses cinquante huit ans et sa relation ancienne et épisodique avec Livia ne le préparent pas à l'assaut de multiples cambriolages rapprochés dans le temps et dans la même rue. L'une des éventuelles victimes, une jolie jeune femme et ".... il commença à sentir croître en lui.... un puissant sentiment de vergogne.... il sentit que son visage rougissait de honte.... Se comporter avec cette petiote comme un amoureux de 16 ans.... " Fazio son adjoint, jeune et adroit, agit. Et
".... Ses délires de vieux gaga presque sexagénaire.... " s'effaceront pourtant. Toujours à table chez Enzo la plume de Camilleri rappelle à ses lecteurs qu'une enquête Montalbano sans les rougets frits, les aubergines à la parmesane, ne saurait être complète. Et se poursuit cette sombre histoire de vengeance où " .... Angelica.... Tout son être la désirait mais une partie de sa coucourde faisait encore de la résistance.... " Lorsqu'il oublie la jolie jeune femme, dans sa langue bien particulière plus sicilienne qu'italienne, le commissaire " Montalbano je suis " se penche sur les déboires de ses concitoyens qui apparaissent au cours de l'enquête, les ménages entrecroisés, les dettes de jeu et autres. Une histoire, un livre, mais une écriture drôle, naturelle, juste ce que l'on attend d'une enquête Montalbano. Texte parsemé de vers del'Arioste furieux.
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