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1er avril 1661
Aujourd'hui revient mon tour de service au Sceau privé.
Debout de bonne heure avec mes ouvriers. Au bureau et dîner à la maison avec sir William Batten, après cela à la taverne de la Chèvre près de Charing Cross pour rencontrer le Dr Castle. Nous bûmes une pinte de vin et discutâmes des affaires du Sceau privé, puis au bureau du Sceau où je trouve Mr Moore mais toujours aucun travail. Ensuite à Whitefriars où je vis une partie de Femme soumise, femme acquise, pièce que je n'avais jamais vue et qui ne me plaît pas.
Chez mon père, en froid avec ma mère à propos de la servante ( qui plaît à mon père et déplaît à ma mère ). Je restai jusqu'à 10 h à essayer d'amener ma mère à se mieux conduire, et ne mâchai point mes mots,
ce que je regrette, mais la pauvre femme est devenue très pénible. Je les laissai toujours en froid et retour chez moi, par un beau clair de lune. Et au lit.
2 avril
De bonne heure avec mes ouvriers. Puis avec ma femme et Pall chez mon père, en voiture, où elles coucheront jusqu'à la fin des travaux. Je trouvai ma mère seule, pleurant à cause de la querelle de la nuit dernière. Je la quittai et emmenai ma femme à Charing Cross, où je la laissai chez sa mère qui ne va pas bien.
Pour ma part, allai dans le parc de St James où je vis le duc d'York jouer au mail. La première fois que je voyais ce jeu.
Puis chez milord où je dînai avec milady. A la fin du repas arrivent milord et Ned Pickering affamés, alors qu'il ne restait pas une parcelle de nourriture dans toute la maison, les domestiques ayant tout mangé, ce dont milord fut fort mécontent. On finit par préparer quelque chose. Ensuite au Sceau privé où je donnai quelques signatures.
A Whitehall où je vis Le Petit Filou, pièce fort gaie et bien troussée, et le petit garçon joue fort bien.
Puis chez mon père où je trouve ma mère et ma femme de très bonne humeur. Je les quittai et rentrai chez moi.
Ensuite au Dauphin rencontrer sir William Batten, Penn et d'autres personnes, entre autres Mr Delabarr. Il est étrange de voir ces hommes qui, en d'autres occasions, sont des personnes avisées en viennent sous l'effet de la boisson à s'adresser railleries et reproches pour leurs situations passées et leur conduite dans les affaires publiques, au point que ce spectacle me fit honte.
Mais nous nous quittâmes tous bons amis à minuit, après avoir bu beaucoup de vin. Retour chez moi et au lit.
3 avril
Debout avec mes ouvriers, et mal à la tête toute la journée après les excès de la nuit dernière. Au bureau toute la matinée, et à midi dîner avec sir William Batten et Penn qui me forcèrent aujourd'hui à boire deux bonnes rasades de Xéres pour me guérir du mal d'hier. Ce qui me parut étrange, mais qui, apparemment s'avère efficace.
Retour chez moi, avec mes ouvriers tout l'après-midi. Le soir, au jardin pour jouer du flageolet. Il faisait clair de lune, j'y restai assez longtemps, puis rentrai me coucher.
J'apprends aujourd'hui que les Hollandais ont envoyé au roi beaucoup d'argent en cadeau, ce qui, à notre avis, mettra fin au mariage portugais et explique, selon nous, qu'ait beaucoup diminué notre hâte à envoyer deux vaisseaux aux Indes orientales.
4 avril 1661
Auprès de mes ouvriers, puis chez milord où je dînai avec Mr Shipley. Après le dîner j'entrai voir milord et nous fîmes beaucoup de musique. Arriva ensuite mon cousin Tom Pepys qui accepta la garantie que nous lui donnons pour les 1 000 livres que nous lui empruntons. L'argent doit être versé la semaine prochaine. Après quoi, Sceau privé et avec Mr Moore chez mon père où soupèrent quelques amis avec nous, et retour tardif à la maison, laissant ma femme derrière moi. Au lit.
5 avril
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Debout avec mes ouvriers, au bureau puis allai dîner chez William Penn avec l'autre sir William et sir John Lawson, puis ensemble chez Mr Lucy, négociant, où se trouvaient de nombreuses personnes de bonne compagnie. Bûmes force vin. Au cours de la conversation nous en vînmes à parler du poids des gens, ce qui donna lieu à quelques paris. Nous fûmes quelques-uns qui gagnâmes une demi-pièce d'or à dépenser sur place.
Puis, chez moi, et le soir chez sir William Batten, où nous mangeâmes gaiement une bonne bourriche d'huîtres. Telle est la vie que je mène en ce moment.
Chez moi, au lit.
6 avril
Debout avec mes ouvriers. Puis à Whitehall et au Sceau privé et ailleurs pour mon travail. Rencontrai, en particulier, Mr Townshend qui me parla de l'erreur qu'il avait commise l'autre jour en mettant les deux jambes dans la même jambe de sa culotte, et la porta ainsi toute la journée.
Puis avec Mr Creed et Moore à la taverne de la Jambe, au Palais pour le dîner que je leur offris. Après le dîner je vis la fille de la maison, fort jolie, qui allait dans une chambre, la suivis et l'embrassai. Ensuite, par le fleuve, Creed et moi, à Salisbury Court où nous vîmes Querelle d'amoureux, que l'on jouait pour la première fois, mais je n'ai aimé ni le style, ni l'intrigue.
M'arrêtant chez mon père, je trouvai mes parents et ma femme en bonne santé. A la maison et, au lit.
7 avril
Jour du Seigneur
Toute la matinée chez moi à faire mes comptes ( Dieu me pardonne ! ) que je dois présenter à milord
cet après-midi. Puis partis vers 11 heures vers Westminster et entrai à Saint-Paul où j'entendis notre pasteur, Mr Mills, prêcher devant le lord-maire. A Whitehall où je rencontrai le Dr Fuller de Twickenham fraîchement débarqué d'Irlande, et le menai chez milord où nous dînâmes. Il nous expliqua clairement la situation de l'Irlande, et comment il se trouve que, du fait du rapprochement des fanatiques et des presbytériens, ils sont les uns et les autres cités conjointement dans la proclamation officielle sous le nom de fanatiques.
Après le dîner, milord, Shipley et moi vérifiâmes les comptes et réglâmes entre nous les questions d'argent. Milord me parla librement de la façon de se procurer de l'argent, d'autres choses, et de sa famille, etc. Allai ensuite chez mon père où je trouve Mr Hunt et sa femme qui soupaient, avec également ma mère et ma femme. Je les quittai après le souper et repris le chemin de la maison. Passai chez sir William Batten et décidai de me rendre à Chattam demain. Rentrai chez moi, et au lit.
8 avril 1661
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Levé tôt, milady Batten frappant à la porte qui communique avec une de mes chambres, je donnai des instructions à mes gens et à mes ouvriers et vers 8 heures nous prîmes le canot à la Tour, sir William Batten, sa femme, Mrs Turner, Mr Fowler et moi. Voyage for agréable. A Gravesend, où nous dînâmes, et de là ils prirent une voiture tandis que Fowler, moi et quelques autres venus de Rochester à notre rencontre, partîmes à cheval, à Rochester. Nous descendîmes chez Alcock où nous bûmes et nous amusâmes fort de le voir apporter tant de fromages divers. Puis au manoir de la colline à Chattam où je n'étais jamais allé. Cette maison me paraît fort agréable et j'aime les armoiries dont elle est ornée. Nous fîmes là un souper fort joyeux. Au lit tard, sir William me disant que le vieil Edgeborow, son prédécesseur était mort et venait rôder dans sa chambre. J'en conçus quelque frayeur, mais pas autant que j'en laissai paraître pour les amuser.
9 avril
Au lit dans la chambre du trésorier où je reposai et dormis bien jusqu'à 3 heures du matin, puis je me réveillai et vis alors, dressé, à la clarté de la lune, mon oreiller que j'avais rejeté loin de moi pendant la nuit, mais ne comprenant pas ce que ce pouvait être j'éprouvai quelque crainte. Mais le sommeil l'emporta et je dormis jusqu'au milieu de la matinée. Je me fis apporter un chaudeau et allumai un bon feu. D'une façon générale je fus ravi de mon séjour, voyant combien je suis respecté et honoré de tous. Et je considère que je commence, maintenant, à savoir recevoir tant de marques de respect, ce que je ne savais faire au début.
Sir William et moi en voiture jusqu'au bassin du port où nous inspectons tous les magasins et les vieilles fournitures qui doivent être vendues aujourd'hui aux enchères, j'en fus fort satisfait. Retour à la maison en voiture, on nous servit un bon dîner. Et parmi les personnes étrangères qui nous rendirent visite, Mr Hempson et sa femme, jolie personne qui sait parler latin, Mr Allen et deux de ses filles, toutes deux fort grandes, et la cadette fort belle, au point que je ne pus m'empêcher de m'en éprendre. Elle a, entre autres choses, les plus jolies mains que j'aie jamais vues. etsy.com
Après dîner, Tom Hayer nous ayant rejoins ce matin, nous allâmes préparer les registres et tout ce qui était nécessaire à la vente à la chandelle. Cela nous amusa fort, nous et les dames qui assistaient à la vente, de voir les gens mettre les enchères. Parmi les objets vendus il y avait toutes les armoiries de la République que sir William Batten acheta dans l'intention d'en disposer quelques-unes dans son jardin et de brûler le reste au soir du couronnement. La vente achevée, le capitaine Pett, les dames et moi et Mr Castle prîmes le canot et descendîmes vers le Sovereign, pour notre plus grand plaisir, en chantant pendant tout le trajet. Entre autres plaisirs, je fis entrer milady, Mrs Turner, Mrs Hempson et les deux Mrs Allen dans le fanal de la poupe, les suivis et les embrassai, exigeant cela au titre d'une gratification due à un officier de premier rang. Tout ceci nous mit de la meilleure humeur du monde et nous bûmes quelques bouteilles de vin, mangeâmes de la langue de boeuf, etc. Puis retour à la maison et souper. Et après bien de la gaieté, au lit.
10 avril
Le matin, allé voir les maisons du port. D'abord celle de Mr Pett, le charpentier de marine, où nous fûmes aimablement reçus. Entre autres, il offrit à lady Batten un perroquet, le plus remarquable que j'aie jamais vu. Il reconnut Mingo sitôt qu'il le vit, car il avait autrefois été élevé dans leur maison. Pour la parole et le chant je n'ai jamais entendu son pareil. Milady accepta ce cadeau.
Allai ensuite voir la maison du commissaire Pett, en son absence et celle de sa famille. Je m'étonnai de voir milady Batten la parcourir avec des airs d'envie pour l'élégance et la richesse de tout ce qui s'y trouve. Et de fait, la maison, comme le jardin, est d'une extrême beauté. Elle disait qu'elle aurait la maison car elle appartenait, autrefois, à l'intendant de la Marine.
Puis à bord du Prince, maintenant au bassin. Il possède une cabine remarquable pour ses boiseries sculptée ( on n'en trouverait pas de plus somptueuse ) mais sans aucune dorure.
Après cela, retour à la maison, où nous fîmes un dîner léger. Puis à Rochester où nous vîmes la cathédrale que l'on restaure pour le culte et dont on accordait les orgues. Nous en repartîmes après avoir contemplé les grandes portes qui furent, dit-on, recouvertes de peaux de Danois. Nous nous aussi bien amusés devant une tombe sur laquelle était inscrit " Viens doux Jésus ", que je lus " Viens douce Molly ", ce dont nous rîmes bien le capitaine Pett et moi.
A la taverne de la Salutation où Mr Acock et de nombreuses personnes de la ville nous offrirent du vin, des huîtres et autres mets Sir John Mennes nous rejoignit, venu aujourd'hui de Londres pour voir les Henry, sur lequel il va naviguer tout l'été comme vice-amiral, dans les eaux de la Manche et de la Mer d'Irlande. Beaucoup de gaieté, mais m'attarder me gênait un peu, car nous devions nous rendre chez Hempson. Ce que nous fîmes plus tard, et trouvons sa maison fort belle à tous égards et somptueusement meublée. Malheureusement les abords de tous côtés sont très laids ce qui, à mon avis, est le plus grand défaut que puisse présenter une maison.
On fit jouer, pour me complaire, deux instruments à cordes, dont une basse de viole. Celui qui jouait de la viole interpréta fort bien quelques morceaux pour la harpe, mais les deux réunis firent la musique la plus abominable que j'eusse jamais entendue.
On nous servit une bonne collation, mais je n'y pris guère de plaisir tant la musique était mauvaise et tellement j'avais l'esprit obsédé par Mrs Rebecca Allen.
Après le repas les dames allèrent danser, et me trouvant parmi les hommes présents je dus moi aussi danser, ce dont je m'acquittai fort maladroitement. Mrs Rebecca Allen dansait fort bien et semblait avoir le caractère de femme le plus agréable que j'aie jamais rencontré. Vers 9 heure, sir Willaiam et milady rentrèrent chez eux et nous continuâmes à danser une heure ou deux. Nous nous arrêtâmes dans la bonne humeur et la joie, et rentrâmes à pied. J'accompagnai Mrs Rebecca qui semblait, je ne sais pourquoi, chercher à me plaire et me témoignait beaucoup de respect.
Sur le chemin du retour elle insista pour que je chante. Je m'en acquittai assez bien, ce qui me valut d'être hautement estimé de tous.
Chez le capitaine Allen ( comme la nuit dernière ) que nous entendîmes jouer de la harpe. Je le trouve excellent musicien, et comme je n'étais pas pressé de quitter Mrs Rebecca je m'attardai, et entre la conversation et les chansons ( chantées par son père et moi ) Mrs Turner et moi restâmes jusqu'à 2 heures du matin. Je me sentais de la meilleure humeur qui fût. J'eus l'occasion d'embrasser fort souvent Mrs Rebecca.
Le capitaine Pett, entre autres choses, dit qu'il pensait avoir fait un enfant à sa femme depuis ma dernière visite. Ce que je relevai, lui demandant en plaisantant, quelle condition il mettrait à ce qu'il fût dit, pour mon honneur, que l'enfant était de moi. Il me répondit gaiement qu'il ne mettrait d'autre condition que ma promesse d'être le parrain de l'enfant, s'il naissait à terme. Ce que je promis. Il faudra donc que je pense à faire le calcul, lorsque le temps sera venu.
11 avril 1661
A 2 heures du matin, le plus gaiement du monde, nous retournâmes à notre logis, et au lit. Y restai jusqu'à 7 heures, réveillé par sir William Batten, je me levai, réglâmes quelques affaires puis arriva le capitaine Allen. Nous nous retirâmes tous deux pour chanter une ou deux chansons, avec grand plaisir à
" Va t'faire pendre ! c'est dire deux fois adieu. "
Les jeunes filles arrivèrent et je retrouvai l'agréable compagnie de Mrs Rebecca. J'eus un peu de peine lorsque je la quittai. Dieu me le pardonne ! Retour à Londres vers 9 heures....
Mais de tous les voyages que j'aie jamais faits ce fut le plus gai. J'étais étrangement porté à la gaîté....
Je rencontrai deux petits écoliers qui allaient porter des pichets de bière à leur maître pour fêter la fin de l'école avant Pâques. Je bus dans le pichet de l'un d'entre eux et lui donnai deux pence.
Peu de temps après nous rencontrâmes deux petites filles qui gardaient des vaches. L'une d'elles me paraissant fort jolie, il me prit fantaisie de lui faire demander ma bénédiction. Comme je lui disais que j'étais son parrain, elle me demanda si je n'étais pas Ned Wooding, je lui dis que oui. Elle se mit alors à genoux et cria avec beaucoup de simplicité : nature-ange.com
- S'il te plaît parrain, prie Dieu de me bénir !
Ce qui nous fit bien rire et je lui donnai deux pence.
En plusieurs endroits je demandai à des femmes si elles accepteraient de me vendre leurs enfants. Elles refusèrent toutes, mais me dirent qu'elles m'en donneraient volontiers à élever à leur place.
Mrs Ann et moi passâmes à cheval au pied du pendu de Shooten Hill. Spectacle répugnant que cette chair desséchée sur les os.
Retour chez moi. J'y trouve que tout va bien.... J'envoyai prendre des nouvelles de ma femme, qui se porte bien. Mon frère John arrive de Cambridge.
Chez sir William Batten où je soupai, et fort gaiement, avec les demoiselles. Puis au lit, avec grande envie de dormir.....
12 avril
Levé avec mes ouvriers. Vers 7 heures ma femme vint me voir accompagnée de mon frère John. Mais je les renvoyai parce que je devais me rendre au bureau, ce que je fis.Puis dîner avec sir William Batten, de poisson seulement, car c'est vendredi saint.
Chez moi où j'inspectai le travail de mes ouvriers. Ensuite à la Cité. Je vis où en étaient les préparatifs du couronnement, qui sera vraiment magnifique. Retour chez moi dans mon cabinet pour noter dans mon journal la relation de mon dernier voyage, ce que je fais avec grand plaisir, et tandis que j'y suis occupé, on m'apporte une invitation aux funérailles du capitaine Blake. Sa mort m'afflige et m'étonne......
Depuis mon départ de Londres, un certain Alexander Rosse s'est fait prendre et envoyer en prison pour avoir imité ma signature sur un ordre de paiement..... Au lit.
13 avril
A Whitehall par le fleuve..... avec sir William Penn. De là chez milord, puis nous sommes allés prendre notre boisson du matin avec le capitaine Cuttance et le capitaine Clarke. Retour à Whitehall..... j'allai à la salle des Banquets où je vis le roi trancher les écrouelles. Première fois que je le voyais faire cela, il s'n acquitta avec beaucoup de gravité. L'office me parut médiocre et inepte...... Retour chez moi, puis immédiatement à Wapping pour l'enterrement du capitaine Blake, en compagnie de sir William Penn eet du capitaine Terne. Chacun de nous reçut un anneau...... Au lit.
14 avril 1661
" Pâques " Jour du Seigneur
Le matin partis chez mon père, mais entendis en chemin Mr Jacombe à Ludgate sur ces paroles
" Dieu nous a aimés, et pour cela aimons-nous les uns les autres ". Ne s'est guère donné de mal pour son sermon, en bon presbytérien..... Après le dîner chez mon père, je me rendis au quartier du Temple où j'entendis le Dr Griffith. Sermon bien adapté à ce jour....... Après quelques tâches chez milord, chez mon père, et après le souper, ayant fait semblant de vouloir rentrer chez moi et ma femme paraissant approuver mon intention, je partis de fort méchante humeur. Mais elle, pauvre chérie, me suivit dans la nuit et la pluie jusqu'à Fleet Bridge pour me faire revenir, ce que je fis......
( à suivre,
15 avril )
Depuis chez mon père.......
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