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La peau des anges
Roman noir. Cruel, d'autant plus que l'auteur maintient un suspens lourd, passant des personnages sans humanité à d'amicales mais rugueuses amitiés. Masja est belle, protégée, croit-elle par un Igor qui pourtant est prêt à la vendre pour payer ses dettes de jeu. Comme nombre de jeunes femmes arrivées à Copenhague d'un peu partout, surtout d'Europe de l'Est, elle vient de Lituanie, elle se prostitue dans des hôtels chics jusqu'alors. Par ailleurs à Stockholm la police découvre un nouveau cadavre debout dans une décharge, ils l'appellent " ange blanc " car ces êtres qui pourraient être embaumés mais sont en fait beaucoup plus curieusement maintenus debout. Et tout va basculer. Le livre est constitué de chapitres assez courts qui débutent quelques dizaines d'années avant de passer à 2013, 2011, de la Suède au Danemark. Visite des bas-fonds, où les filles vivent dans des chambres-cellules ou sont sur le trottoir en robe légère par - 10, ou à l'arrière de cabines de bronzage. Les gangs sont bien organisés et la police ne parvient pas à saisir le patron de ce monde meurtrier, le russe Slavros. Dans cet univers noir, une femme Nadia, mère de Masja, qui s'occupe du ménage d'un café, va confier son désespoir à Johnson, son patron. Elle a appris que Ravn un habitué du bar, est policier, et lui demande de rechercher sa fille disparue depuis plusieurs mois. Ravn est en congé maladie, ivre dès l'aube, retourne difficilement dans son appartement à la suite d'un drame, mais vit avec Mufft, chien baveux, sur son bateau ancré le long du canal. Aux " taureaux " clients psychopathes, celles qui désobéissent. La drogue anéantit les sentiments. Bon polar, assez classique, éprouvant.
La peau des anges
Roman noir. Cruel, d'autant plus que l'auteur maintient un suspens lourd, passant des personnages sans humanité à d'amicales mais rugueuses amitiés. Masja est belle, protégée, croit-elle par un Igor qui pourtant est prêt à la vendre pour payer ses dettes de jeu. Comme nombre de jeunes femmes arrivées à Copenhague d'un peu partout, surtout d'Europe de l'Est, elle vient de Lituanie, elle se prostitue dans des hôtels chics jusqu'alors. Par ailleurs à Stockholm la police découvre un nouveau cadavre debout dans une décharge, ils l'appellent " ange blanc " car ces êtres qui pourraient être embaumés mais sont en fait beaucoup plus curieusement maintenus debout. Et tout va basculer. Le livre est constitué de chapitres assez courts qui débutent quelques dizaines d'années avant de passer à 2013, 2011, de la Suède au Danemark. Visite des bas-fonds, où les filles vivent dans des chambres-cellules ou sont sur le trottoir en robe légère par - 10, ou à l'arrière de cabines de bronzage. Les gangs sont bien organisés et la police ne parvient pas à saisir le patron de ce monde meurtrier, le russe Slavros. Dans cet univers noir, une femme Nadia, mère de Masja, qui s'occupe du ménage d'un café, va confier son désespoir à Johnson, son patron. Elle a appris que Ravn un habitué du bar, est policier, et lui demande de rechercher sa fille disparue depuis plusieurs mois. Ravn est en congé maladie, ivre dès l'aube, retourne difficilement dans son appartement à la suite d'un drame, mais vit avec Mufft, chien baveux, sur son bateau ancré le long du canal. Aux " taureaux " clients psychopathes, celles qui désobéissent. La drogue anéantit les sentiments. Bon polar, assez classique, éprouvant.
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